Ma fille prise en otage par un JAF pogam.fr.fm

Accueil - Historique - L'auteur du site - Dossier de presse - Contact - Soutien - Liens

Historique

1996:
Les enseignants du collège d'Adrien, m'on demandé de mettre un terme à la maltraitance psychologique que Laure-Marie exerçait sur son fils. N'arrivant pas à raisonner Laure-Marie qui faisait la loi dans le ménage, j'ai envisagé la séparation qu'elle s'est refusé à accepter.

1997: Juin
Brutalités perpétrées par Laure-Marie et sa mère sur Adrien alors âgé de 12 ans qui en a fait une fugue chez son grand-père maternel, ( ces faits ont été reconnus devant le J.A.F du H… ). Désavouée par tous, Laure-Marie a quitté précipitamment les lieux sous la protection de la police. Aurélie s'est retrouvée transférée dans les Deux-Sèvres sans mon consentement alors qu'elle était inscrite en cours préparatoire au Havre.

Septembre
Garde provisoirement accordée à la mère en attendant les résultats d'une enquête sociale demandée le Juge de J.A.F.

21-22 Novembre
Premier droit de visite effectué à NIORT. Durant ce week-end, j'ai dû louer une chambre d'hôtel au Central-Hôtel de NIORT. De retour, le dimanche soir, Aurélie toute heureuse de m'avoir retrouvé, ne l'a pas caché à sa mère qui m'a dit par jalousie "tu ne reverras plus ta fille". Le père de Laure-Marie a dû intervenir immédiatement par téléphone pour calmer la mère qui commençait à terroriser Aurélie.
Pendant les quelques heures qui ont suivi, Aurélie a fait face à sa mère et sa grand-mère qui commençaient à lui faire regretter de m'avoir revu.
Le mardi 24, très inquiet, j'ai contacté son institutrice qui m'a dit :" Ne vous inquiétez pas, tout va bien, Aurélie m'a fait part de sa joie de vous avoir revu".

Décembre
Accusé d'avoir abusé de ma fille au Central Hôtel de Niort, j'ai été rapidement innocenté par la Police Criminelle qui avait noté, entre autres, l'incohérence des propos de la mère par rapport à ceux de sa fille. De plus Aurélie aurait dit que j'avais rapproché les deux lits pour abuser d'elle la nuit. Laure-Marie ne savait pas qu'ils étaient trop lourds pour être déplacés sans réveiller les gens de l'étage.

1998: Juin
Les résultats de l'enquête sociale ont principalement fait ressortir la perversité de Laure-Marie . Les enseignants n'ont pas hésité à employer les termes de "torture morale", de "cruauté mentale", de "dissimulation" et de "mensonges importants".
En toute logique, le Juge a attribué définitivement la garde à la mère. Dès ce moment je savais que je ne reverrai plus Aurélie qui allait vivre l'enfer, sans possibilité d'intervenir.

Juillet
Plus rien n'allait. Aurélie a été absente à l'école sans explication pendant 20 jours au deuxième trimestre. Convoqué devant le juge des enfants de N... le 7 Juillet, ce dernier m'a directement reproché d'avoir mis Aurélie dans un triste état. Je lui ai expliqué que je n'y étais pour rien puisque j'habitais à 500 Km et ne l'avais vu qu'un week-end en un an.
Il a continué en ces termes: "je viens de voir Aurélie qui m'a dit d'emblée, "Mon papa m'a touché mon zizi". C'est très grave je vais signaler les faits au Procureur". Je lui ai répondu que les enfants abusés par des adultes n'ont pas l'habitude de se venter des sévices qu'ils ont subit.
Il a poursuivi en me demandant pourquoi je réclamais la garde de ma fille. Je lui ai expliqué que l'attribution de la garde à la mère m'aurait convenu si celle-ci était restée au Havre. Aurélie résidant à Niort, je n'ai plus eu d'autre choix que d'en réclamer la garde pour la protéger, la voir grandir et m'en occuper. Il m'a répondu "l'on est pas aux Etats Unis ici, (Aux Etats Unis, quand un parent est défaillant, la garde est transférée à l'autre parent), Aurélie sera placée à la DASS à Niort, pour deux ans". Je lui est demandé de la placer plus près du Havre, pour que moi et ma famille, puissions la voir régulièrement. Sans nous voir, Aurélie en souffrirait beaucoup. Il m'a répondu que ce n'était pas son problème.
Pour finir, la situation a dégénéré. Il a commencé à grossièrement mentir sur des faits trop longs à expliquer ici. Connaissant beaucoup mieux que lui le dossier, je n'ai pas eu de difficulté à lui démontrer qu'il mentait ou manquait de jugement. Déstabilisé et vexé, il venait de comprendre à quel point il s'était ridiculisé, sans accepter pour autant de revenir sur sa décision de placement. Au delà de son comportement aveugle et borné son handicap a rendu l'audience pitoyable. Un tel spectacle est totalement indigne de notre société. En une audience de vingt minutes, il venait de gâcher un an des plus belles années d'Aurélie qu'il a éloigné pour longtemps de toute sa famille paternelle indispensable à son équilibre d'enfant.

1999 : Mai
Aurélie n'en pouvant plus, a fugué de la DASS. Ayant promis de ne plus recommencer, elle a été libérée sur parole. A sa sortie, rien avait changé. Le Havre était toujours à 500Km de Niort avec tous les problèmes que cela entraîne.
Monsieur le Juge a conclu en ces termes: "Le problème a été traité mais pas résolu. L'exclusion du milieu familial a entraîné d'importantes souffrances pour les enfants qui n'ont pas compris entièrement les raisons de cet éloignement".
Le contraire aurait été étonnant. Personne n'a compris pourquoi les enfants ont été placés. Après avoir téléphoné aux éducateurs, aucun n'a pu justifier sérieusement le séjour des enfants à la DASS et m'expliquer concrètement en quoi mon attitude aurait été répréhensible.
Aurélie m'a dit: "C'est à cause de toi si j'ai été à la DASS"
Elle m'en veut beaucoup pour cela.
Beau travail Mr le JUGE !

Juin
Aurélie a réintégré pour un mois son école primaire d'origine à Melle. Le 17 juin, j'ai assisté au spectacle de fin d'année organisé dans la salle des fêtes de Melle. Aurélie était déguisée en légume. Sa mère l'a obligé à baisser la tête pendant tout le spectacle pour ne pas que je la filme au caméscope. Aurélie pleurait. Déstabilisée, ses camarades l'aidaient à poursuivre. La scène était pitoyable, des parents à coté de moi ne comprenaient pas que l'on puisse laisser faire des chose pareilles.
La femme du directeur de l'école, a essayé pendant plus d'une heure de raisonner Laure-Marie . Désavouée une fois de plus, Madame a du retirer Aurélie de l'école Jules-Ferry.

Novembre
Contact téléphonique à l'assistante sociale Mme IMBERT en charge du dossier d'A.E.M.O pour savoir dans quelle nouvelle école était scolarisée Aurélie. Mme IMBERT a refusé de me répondre me disant que je n'avais pas besoin de le savoir. Il y aura de toutes façons des comptes à rendre à ce sujet Mr le Juge.

2000 : Mars
L'impossibilit